En revenant dans sa propre division, le capitaine Kuchiki pouvait remarquer une certaine curiosité retenu de la part de ses hommes. Bien sure il n'en fit rien paraître et entra dans son bureau tout en veillant à bien fermer le battant derrière lui. Là il ferma quelques secondes les yeux. Ce combat inutile et complètement idiot l'avait mit dans de beaux draps. Il soupira intérieurement puis se dirigea vers son bureau. Là il quitta son haori et le haut de son kimono afin de constater un peu les blessures. Non pas qu'il était douillet mais mine de rien alors qu'il passa une main sur ses côtes et ne pu empêcher une légère grimace. Voila ce qu'il en coûtait que de ne pas user de son bankai face à ce genre d'adversaire . Mais pour Byakuya ce n'était rien comparé à la réprimande de son commandant. De sa main droite il tira le tiroir gauche de son bureau et en sorti un bandage. Il en gardait toujours un au cas ou... et là c'était le bon moment. Non sans garder un visage impassible sous haut contrôle de sa part, il s'évertua à ce faire ce bandage autour de sa poitrine, et ce malgré la douleur. Cela prit bien quinze minutes avant que tout fut fini, et enfin il pu soupirer de soulagement alors que la sueur brillait à sa tempe. D'un geste las il se revêtit correctement conscient que peu être une personne pourrait entrée, et il n'était pas dit que l'on pourrait surprendre le capitaine Kuchiki dans ce genre d'état.
Tout en essayant de ne pas trop ce mouvoir, Byakuya se remit un peu au travail en observant deux trois dossiers , mais la concentration n'était point au top . Son esprit était un peu préoccupé par les divers sanction qui risquait de lui tomber dessus, sans parler des commentaires qu'il devra essuyer non sans garder un calme olympien. Vraiment la journée commençait fort bien. Il n'y avait qu'une chose qui le satisfaisait c'était qu'il était tout de même parvenu à blesser Zaraki. Bien que ce dernier n' ait rien montré, il l'avait ressentit, à travers son zanpakuto. Il plissa une dernière fois les yeux et tourna enfin la première page du dossier qui lui faisait face, alors qu'une douce fatigue s'était éprise de son corps et parfois ses paupières ne cessaient de vouloir se fermer. Cela était un peu justifier, mais le capitaine Kuchiki n'était pas homme à laisser ce genre de chose le surprendre....
Jeu 9 Oct - 22:17